Dimanche du fils prodigue

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Nous continuons à nous préparer au Grand Carême.

Comme le Prophète saint Jean a dit aux gens en venant pour être baptisé de lui en Jordanie : Chacun  colline sera baissée et chacune  vallée montera. C’est-à-dire ce pour rencontrer Christ qui arrive ce qui sont de taille haute doivent  se baisser et celui  qui est très petit doit s’agrandir.

Le publicain Zakhey avait  petite taille. Il grimpe un arbre pour voir le Christ qui passe. Mais Christ  remarque cela et cette journée Lui rentre dans la maison de Zakhey pour dîner chez lui.

Dimanche dernier on a entendu la parabole d’un homme  qui était trop haut dans ses yeux, qui était bien content de ce qu’il fait dans sa vie. Mais lui retourne dans sa maison moins justifié que le publicain qui est avec la tête baissée devant le Dieu.

Aujourd’hui,  nous lisons que pour chacun qui est désespéré en soit il doit retourner sur le chemin de la pénitence et de la correction de ses actions. Parce que et la fierté et le désespoir sont de  grandes pèches qui nous empêchent de rentrer dans le royaume de Dieu.

Alors, dans l’histoire d’Évangile d’aujourd’hui on voit une situation familiale qui est bien entendue pour nous. Chacun de nous a sa famille. Quelqu’un est le père ou le fils, ou le frère. Quelqu’une est la mère ou la fille, ou la sœur.

L’histoire  dit: Un homme avait deux fils. Le fils cadet décide de partir de la maison. Ce ne pas pour qu’il est devenu adulte, pas pour  faire sa propre famille ni pour gagner d’argent. Mais il voulait avoir tout et tout de suite. Et de cela tous les malheurs de l’humanité. Un jour, dans le paradis, Eva voulait plus ce  qu’ils avaient  et Adam pensait : Pourquoi pas…’’ Avoir tout et tout de suite’’ Si vous voulez, toutes les guerres et tous les meurtres se produisent à cause de cela.

À l’époque  tous les membres de famille vivaient ensemble,

parce que dans une grande famille était plus facile de survivre. Tous habitaient ensemble, le père était le plus important, il  gérait la vie de la famille. Après la mort de son père, le fils ainé devient le plus important dans cette famille, il assume et réponde  à tous les besoin de grande famille. Après la mort de deux parents  les autres membres de la famille reçoivent  leur part d’héritage.

Dans l’histoire d’évangile, le fils cadet dit à son père :’’ Donne-moi ma part d’héritage et moi je pars. Je ne veux pas d’attendre  de ta mort.’’ On comprend  que du côté de  son fils c’était une très mauvaise action, parce que le père avait un bon espoir, il comptait sur son fils. Malgré cela, le père donne à son fils sa part d’héritage et le fils part. Il nous semble que ce un acte étrange.

À la place de père, probablement que  nous soyons  très fâchés, que nous chicanions avec notre fils ou que nous persuadions  de  rester dans la famille etc.

Dans cette parabole le Seigneur nous ne parle  pas de simples relations familiales. Ce sont des relations entre le Dieu et l’humain.  Le Seigneur  ne nous empêche pas de faire ce qu’on veut. Nous sommes libres dans nos décisions. Comme le père dans cette histoire.

Il partage l’héritage entre deux ses fils. Le fils cadet part dans un pays éloigné, où il gaspille très vite tout sa part d’héritage sans travailler. Dans quelque  temps déjà il n’avait pas d’argent, il avait faim et froid. Ce jeune homme ne trouve qu’un travail de porcher, en espoir qu’il puisse manger au moins la nourriture pour les porcs. Mais  on ne lui permettait pas de manger même la nourriture pour les porcs.

Dans la parabole d’aujourd’hui,  le père – c’est le Seigneur, le fils – c’est l’humain, le pays – c’est le monde. Celui  pour qui le jeune homme (le fils) était engagé pour travailler comme porcher – c’est le diable, les cors (la nourriture pour les porcs) – c’est des plaisirs que le monde nous propose, mais qui ne pourront  jamais nourrir l’âme de l’humain.

En travaillant dans la porcherie le fils cadet se rappelle  que chez son père même le plus dernier de serviteurs n’avait pas de faim comme lui ici. Le jeune homme décide de retourner chez son père et de dire à son père : ‘’J’ai péché contre toi et contre Le Ciel. Je ne mérite pas d’appeler ton fils. Je te demande de m’accepter comme l’un de tes mercenaires.’’

Dans cette parabole c’est difficile de ne pas remarquer la fermeté de ce  jeune homme. Il prend la décision ferme de partir de chez son père comme  la décision aussi ferme de retourner chez son père.

Serafim de Sarov dit :’’ Pourquoi aujourd’hui si peu des gens saints? Parce qu’il manque de fermeté chez les gens. Aujourd’hui, nous devons bien réfléchir avant de prendre une décision, bien peser le pour et le contre. Mais notre vie passe vite et  nous n’aurons pas le temps pour faire des choses  importantes.

Alors, le fils s’empresse revoir son père, il veut se mettre à genoux devant son père et se repentir. Le Père le voit de loin, il court pour l’accueillir avec beaucoup de joie, il ordonne à ses serviteurs    pour qu’ils préparent le festin. Tout cela pour dire que mon  fils reste toujours   mon fils. Malgré tout ce qu’il fait avant, même s’il tombe en faisant péchés.

Nous sommes aussi les enfants pour le Dieu. Lui attend quand nous retournons vers Lui. Après avoir une fois  baptisé,  nous sommes tous devenus des fils et des filles pour Lui. On peut faire ce qu’on veut, on peut devenir  qui on veut, on peut tomber sur le fond du péché, mais si nous voulons  change notre vie et retourner vers le Dieu,  Notre Père nous accepte toujours de nouveau comme ses enfants. Il nous nourrira, nous habillera, cachera aux intempéries avec la joie.  Alors, nous avons toujours la possibilité de retourner vers le Dieu.

Si le frère ainé qui ne péchait jamais  commence à se vexer et envier à son frère cadet, Le Père consolera le frère ainé en disant : ‘’Écoute, quand   ton frère cadet est parti de la maison, il est devenu mort. Aussitôt qu’il retourne vers son Père, il renaît.’’

Le Père nous cherche sans arrêt et Lui se réjouit quand Il nous retrouve.

L’évangile d’aujourd’hui nous rappelle : La porte est toujours ouverte. Notre Père nous attend, Il est toujours prêt de nous accueillir  avec la  joie.

C’est le temps à de laisser tomber tous nos cornes (c’est des plaisirs que le monde nous propose). C’est le temps d’aller vers le Dieu, de lui demander le pardon et de devenir de nouveau l’enfant de Dieu.

Amen!